La neuroscience, un moyen d’auto coaching à la pointe de la science.

Le coaching est l’un des outils les plus puissants pour booster une carrière professionnel et pour son propre développement personnel.

Ca peut vous aider à vous améliorer continuellement en tant que personne et en tant que Leader et avoir vos objectifs à porté de main.

La neuroscience, l’étude du système nerveux et du cerveau, est de plus en plus utilisée dans le coaching afin d’assister les leaders, leur permettre de découvrir comment leur cerveau fonctionne et la façon et comment ils peuvent utiliser ces connaissances pour atteindre leurs objectifs.

Que vous soyez ou non assisté par un coach, vous aurez peut êtres envie d’appliquer certaines des recherches de la neuroscience sur votre propre développement.

Précisez votre visions et évaluer l’étape que vous avez atteint.

Le premier pas dans chaque trajet est de savoir ou on est et ou est ce qu’on veut aller. Prenez conscience du gap et des domaines que vous voulez améliorer et comment bâtir un pont efficace pour combler le gap.

Bien qu’une auto-évaluation honnête  est un bon départ et peut apporter quelques vérités, elle peut probablement avoir quelques angles mort vue le déni de quelques vérités sur nous-mêmes, que nous n’arrivons pas à admettre ou à voir. De ce fait pensez à trouver un partenaire ou collaborateur de confiance pour vous donner des feedback qui améliorent votre perspicacité et n’hésitez pas à récolter les avis annuels de vos employés.

De sorte, vos objectifs peuvent êtres plus étroits tel que « Je veux être plus à l’écoute des préoccupations des employés » ou plus large tel que « je veux avoir un impact plus positif en tant que Leader »

Quand les émotions prennent le dessus

La neuroscience nous informe que les émotions s’activent quand notre corps est face à une situation « faire face ou s’enfuir », cela se produits dans une zone du cerveau appelé Amygdale.

En ce moment précis, la partie rationnelle du cerveau prend vacance, et bloque l’accès à la partie qui va vous permettre d’analyser objectivement une situation et donner une réponse objective.

Si vous ne le faites pas ou n’y arrivez pas (donner une réponse objective), obstinez vous de répondre, vous risquez le danger d’être en otage de vos sentiments et de perdre votre objectivité.

Les déclencheurs, aussi appelés Stimuli, sont ses choses qui nous mettent dans des situations compromettantes à cause de nos émotions et les réactions émotifs qu’ils engendrent. A ce moment, nous nous égarons totalement des réponses appropriés et de l’exécution efficace des taches que nous avons entres les mains, et nous nous trouvons complètement submergé par nos émotions  avec en prime un comportement totalement contre productif.

Si vous constatez que vous ou d’autres personnes  dans votre entourage sont parfois complètement submergés par leurs émotions, ca peut vous aider à faire plus attention aux causes qui les mettent dans cet état. Les causes d’une telle réaction peuvent varier d’une personne à une autres, mais elles se basent généralement toutes sur :

  • Un besoin fondamental non satisfait : tel que le sentiment d’appartenance, celui d’avoir le contrôle de soit même,  ou d’être reconnu comme une personne compétente.
  • Votre perception des faits et des  gestes des autres envers vous, ou de ce qu’ils peuvent penser de nous.
  • Votre estimation de vous-même menacé, et l’impact que cela peut avoir sur votre confiance en vous.

Avoir pleine conscience des échappatoires possibles

Prendre son temps pour faire du recul et observer les sentiments et  pensées que vous pouvez avoir face à ce genre de situation, peut vous permettre de bloquer et retenir une réponse émotionnelle avant que celle-ci ne prenne le dessus et vous dévie du cœur du sujet. Une fois bloquée, vous pouvez choisir – a tête froide – la façon avec laquelle vous voulez répondre et ne pas être dans l’action/réaction et donnez de ce fait des réponses impulsives et stériles.

Par exemple si vous sentez que quelqu’un menace votre autorité sachez que vous expérimentez dans cette situation l’effet d’un déclencheur. Essayer de prendre du recul pour un brève instant afin d’analyser vos émotions et aller de l’avant du mieux que vous pouvez.

L’état de pleine conscience demande de la pratique et de l’exercice, mais un bon début serait de trouver 10 minutes chaque jour ou vous restez tranquillement dans votre coin pour méditer et réfléchir à tête froide. Commencez par vous concentrez sur votre respiration et observez- Sans essayer d’analyser- vos sentiment et  pensées. Vous serez plus apte à reconnaitre une situation pour ce qu’elle est vraiment, au lieu de laisser votre imagination vous distraire de la réalité des choses.

Des Moments de coaching

Une fois vous aurez évalué la situation dans laquelle vous êtes, mettez en place des objectifs réalisables et commencez à découvrir les déclencheurs qui vous place hors piste, vous serez alors prêt à utilisez les vertus de la science dans votre travail. Quand vous avez un meeting programmé avec un vrai chalenge derrière, ou une situation délicate, pratiquez la méthode de pleine conscience «Mindfulness » dans chaque étape.

Avant : Ayez un petit moment de tranquillité. Fixez votre intention sur comment vous aurez voulu que ca se passe dans une situation donnée, et comment vous auriez du réagir pour arriver au résultat souhaité. Imaginez plusieurs scénario qui sont susceptibles  de déclencher une réaction émotionnelle et prévoyiez comment y faire face avec une réponse rationnelle.

Pendant : Mettez vous en mode observation. Prenez votre temps et soyez vigilent, surtout de ce qui se passe à l’intérieur de vous. Par exemple, est ce que vous sentez de la chaleur ? Peut être que votre tête, votre estomac ou votre épaule vous fait mal ? Les sensations physiques peuvent donner des signaux  de comment nous nous sentons avant que les pensées n’atteignent notre cerveaux.

Si vous sentez que vous êtes complètement pris par vos émotions, par exemple, si vous vous sentez en colère, essayer de prendre du recul et essayer d’identifier les déclencheurs avec les pensées et hypothèses qui accompagnent ses déclencheurs.

Quand vous êtes face à une situation potentiellement volatile, rappeler vous que vous n’êtes pas obligé de donner une réponse immédiate à une question ou une épreuve. Utilisez les tactiques dilatoires pour vous donnez quelques secondes de réflexion afin de rassembler vos pensées. Dire quelque chose comme « donnez moi un instant pour y réfléchir », ou quittez la pièce pour un brève instant peut vous aider à gagner du temps pour réfléchir.

Après : Le plus rapidement possible, prenez quelques minutes de réflexion. Posez-vous les questions :

  • Qu’est ce qui a déclenché mes émotions ? Peut être que vous avez senti qu’on met en question votre autorité, ou vous avez senti que vous n’étiez pas dans une position de force.
  • Qu’est ce que j’ai ressenti-émotionnellement et physiquement ?
  • Comment j’ai réagi ? Qu’est ce que j’ai dit ou fait ?
  • Quel effet avait ma réponse sur moi même et qu’est ce que ça a engendré ?
  • Comment j’aurai préféré répondre ?
  • Qu’est ce que je changerais la prochaine fois ?

Pensez à recourir au soutien d’un collègue de confiance pour vous donner un point de vue objectif sur la situation et sur votre réaction.

Une fois que vous avez obtenu un certain retour d’expérience et examiné les leçons apprises, pensez à saisir l’opportunité d’appliquer ces leçons à l’avenir. Vous pouvez créer des rappels pour intégrer certaines pratiques dans votre quotidien.

Mettre la science au travail

À mesure que vous découvrez ce qui vous fait avancer et comment les neurosciences peuvent jouer un rôle dans la réalisation des objectifs, vous pouvez le traduire en un accompagnement plus efficace pour le développement de votre équipe.



Un commentaire

Les commentaires sont fermés